samedi 6 décembre 2008

Un système de santé de m@#!*.... Heureusement New York is New York


Et voilà, je ne m'y étais pas encore frotté, et voilà que je comprends mieux maintenant la réticence du peuple américain à aller voir un médecin.... Tu m'étonnes après qu'ils fassent des séries TV pour vanter les mérites de leur système. Propagande ou publicité mensongère! Car à la place du bon docteur Ross, j'ai vu en 15 jours 3 médecins différents. Enfin "vu", le 2ème je n'y ai eu droit que par entretien téléphonique. Ici quand tu viens avec mal quelque part, tu parles d'abord a une infirmière (genre SOS alcoolique anonyme), puis un nutritioniste qui choisit de te passer ou pas le docteur, qui dans mon cas m'a fait une prescription sans me voir. Les autres fois on m'a fait pisser dans un bocal (4 fois en 3 jours pour toujours avoir le même résultat "normal", à ce sujet ne me montrez pas un pot pipi si vous ne voulez pas avoir Hulk en face de vous!), pris la tension (et ils se sont plantés) , et au bout du troisième j'ai eu un palpation (aux urgences pour 50 dollars). J'ai fini avec deux séries d'Antibio qui ne font rien puisqu'il n'y a pas infection, un mal constant, et un antispasmodique, avec un diagnostic partiel (ils sont vraiment devins là, ils doivent encore lire dans la dilution du café) d'inflammation qui peut être due à différents trucs (et quand j'ai demandé quoi?, pas de réponse). Ah l'état sanitaire du post-doc ma bonne dame... Bref je n'ai en 15 jours de 38 de fièvre, fatigue sans sommeil, toujours pas eu une prise de sang, ni d'antiinflammatoire (histoire de tester un truc de plus), seulement un antispasmodique et enfin un rendez-vous avec des spécialistes la semaine prochaine.... Chouette! En attendant je reste chez moi. J'ai mal.


Du coup je vais vous parler plutôt de choses gaies: le WE dernier (les 4 jours de la dinde thanksgiving) j'étais à New York rendre visite a Emilie (pote de DEA).
Elle y vit maintenant depuis presque un an et a été un très bon guide. On s'est surtout balladées dans la ville avec aussi Sandra et Javier venus avec moi de SF. Premier choc:... thermique en facial. En 5 heures d'avion je suis passée des 17 degC de SF à 3 à 6 degC. Et on a eu de la chance, une semaine "au dessus de la normale saisonnière". On s'habitue vite celà dit, avec un bon manteau et une écharpe, sauf quand le vent glacial passe la , y a rien à faire... à part aller boire un coup dans une bar/café. Et pour cà NY c'est bien , car cà ressemble davantage à Paris, en plus grand, et sans les parisiens. Il y a des troquet partout! Un soir Emilie m'a amené à son repère un bar italien sans enseigne et donc "caché" au niveau de la cave d'un de ces immeuble typique (palier en haut de petits escaliers). Bonne surprise encore, les italiens ne sont pas les rois de l'arnaque culinaire a NY comme c'est le cas à SF) J'ai mangé de très bonne chiffonades de jambon et le vin était bon...
Notre hôte nous a ensuite amenés dans une autre bar cette fois-ci avec pignon sur rue... enfin faut voir le pignon (cf au dessous).













Et là on est entré dans une baraque avec des tapisseries rouge, et un bar à l'étage. on se serait vraiment crû dans un bar clandestin pour réunion communiste sous MacCarthy. Et comme dans ce bar, on est coco, on boit de lla vodka point. Le bonheur. Bon y avait aussi des djeunes.

J'ai beaucoup apprécié la présence de Karl Marx au chevêt de la caisse enregistreuse (trop drôle, on est aux USA quand-même), et les allumettes au logo rouge et noir si familier (que Javier a pris dans ses bagages au péril de sa vie... finalement seul le nutella a été retenu)...snif.













A part cà on a visité les quartier de Soho , Brooklyn (sous la pluie battante et la nuit), Broadway, Manhattan et son central park c'est quand-même quelque chose, union square et time square, east village.
Du coup voici quelques images...
Soho pour donner une idée du temple du shopping (ma carte bleue s'en souvient) et la diversité architecturale.



























Brooklyn (trop sombre pour les photos).






Broadway et Time Square avec sa circulation frénétique, du magasin M&Ms aux spectacles
.






























Y a des lumières gèantes partout qui vantent le réhabilitation de Brit Brit comme une gentille fille (regarder panneau du centre), les pubs pour des films que je vais aller voir (cà a l'air pas mal, même s'il n'y a pas Clive Owen), la tour de décompte des minutes avant la nouvelle année, et son globe facon "daily planet"...














Y a même des cons de mariés qui viennent poser pour l'évènement et des cons
de touriste pour les prendre en photos...
typique robe de mariée meringue...
Mais que fait la police?!.... Elle est aux couleurs du quartier...


























Manhattan, le "reservoir" de Central Park et le Gugenheim (les expos ne
m'interesaient pas, alors 15 dollars, c'etait trop, du coup je suis restée dans le hall et ai pris des photos de la scène de crime: " but who's killed this fucking Pinocchio?"







































Ensuite du labo d'Emilie (et oui comme toute bonne post-doc elle va travailler aussi les WE), on a une vu 360 de toute la ville. Voici des quartiers que vous venez de voir:
un pont sur l'Hudson river,











et biensûr, Harlem puis le Bronx.








Après on s'étonne qu'il y ait des vrais gangsta et des émeutes... c'est bien bien glauque.








Enfin je me suis fait un mini pèlerinage dans l'East Village quartier rock and goth.
Les beasties Boys et leur couverture, l'hotel des rocker (ils changent tous les jours, les tables et les chaises cachèes et distillent les restes de poudre sur les tables en verre sans doute). Encore des building et la place d'anthologie.














































Voilà... pas le temps de s'ennuyer, je reviendrai...
rien que pour prendre le metro, c'est comme descendre dans une mine...Cité industrielle et avec une histoire...



























A très bientôt
...


dimanche 16 novembre 2008

Allez le voir!!!


Vous connaissez tous au moins un film de Danny Boyle... même si vous n'avez pas la mémoire des prénoms, et encore moins des visages. Trainspotting bien sûr, mais aussi the Beach (pas le meilleur), 28 jours plus tard... et je ne compte pas ce qu'il a écrit mais non réalisé (the full monthy apparemment). Même quand c'est pas super, il a quand-même l'art de vous maintenir en haleine pendant plus de deux heures, de vous faire peur , de vous faire rire et parfois même pleurer, ne serait-ce que par le rythme et la caméra. Et là je suis encore restée là , sur le cul, que dire? mes yeux sont encore remplis d'images... et pourtant il partait avec un gros handicap. Depuis les nombreux festivals de cinéma francais où on attend 2 heures pour ne jamais réussir à voir le film qu'on veut, je crois qu'il m'a fallu une bonne dose d'amnésie et de soleil de novembre pour accepter d'aller au festival du film du sud est asiatique... Au milieu du Castro (le quartier gay de SF) et en face des portes du cinéma magnifique du quartier (style rococco avec orgues, dorures plafond en bois gravé peint et laqué...), je me suis retrouvée à faire 2 heures de queue en file "rush line" avec un couple d'amis, à voir passer des indiennes VIP en sahri, des beaufs, et surtout des stewart sik très sympas mais complètement débordés (je cite Sandra:" ils sont aussi organisés que des panaméens (elle est panaméenne)", c'est dire). Bon, on a finalement réussi à avoir des billets au balcon et j'ai aussi comme à mon habitude, à récupéré un géant devant moi, et des dindes pour commenter le film derrière moi. Et pourtant Slumdog Millionnaire, est LE film de l'année ou pas loin. Parce que quand Danny Boyle décide, avec tout son punch et son suspense habituel, de filmer l'Inde et ses enfants, cà déboite vraiment... Bref je vous passe les images magnifiques et surtout incisives des bidonvilles, des monticules de déchets , pour vous dire que l'histoire est une fois de plus inattendue et juste. C'est vraiment très très fort et je ne peux rien vous raconter de plus pour ne pas vous ôter la bonne surprise que j'ai eu moi qui n'avais pas voulu lire le résumé comme les trois quarts du temps (Tu vois Titi, mon goût du risque s'arrête là). C'est vraiment un film à voir en grand et en VO... alors courez a vos Utopia, ABC et MK2... Biz a tous et à très bientôt (vous pourrez même me taper en vrai si ca vous plaît pas... et je n'en n'aurais rien à foutre tellement j'ai pris du plaisir à voir ce film et je pourrez même alors vous raconter enquoi les dindasses derrière moi étaient des dindasses).

dimanche 19 octobre 2008

La question du Golden Gate.

Il y a eu le Watergate et depuis dès qu’un truc ne tourne pas rond au terme du détournement d’argent, on appelle çà un fuc**** ___gate. Mais qui est le chaînon manquant de tout çà? Je vous le donne dans le mille. Comme tous les chemins mènent à Rome, il n’y a pas beaucoup de façons de rentrer dans San Francisco surtout par voie de mer…. On peut faire tout le tour de la baie et passer par la pointe sud mais c’est beaucoup d’essence pour pas grand chose… Sinon on peut prendre l’un des 3 ponts qui relient la côte a la baie: le Richmond bridge, le bay bridge ou le rouquin le GG bridge.

2 sur les trois sont payant, seulement dans le sens de l’entrée dans SF (ils sont tellement généreux, faut dire). Celui qui relie Berkeley au reste de UCSF, le lieu fondateur des révolutions étudiantes, culturelles et de la liberté de la femme… le bay bridge est payant… gag. Le deuxième porte le nom de la monnaie étalon…Voila… c’est aussi ça l’Amérique… et je ne sais toujours pas pourquoi GG s’appelle comme ça….

Une semaine plus tard …. Ah si voila, la golden gate de SF tire son nom évidemment de la ruée vers l'or. La petite mission franciscaine a trouvé des pépites et ça a attiré beaucoup de monde. Pour la petite histoire, c’est un certain John C Frémont qui a écrit le premier le nom de golden gate dans ses mémoires, en fait Chrysopylae ,en référence au port de Byzance Chrysoceras (croissant d’or). Si c’est pas de la modestie cà! Le monsieur en question, d’origine québécoise a été un des premiers candidats à la présidence, du parti républicain, tout nouveau alors et était fermement pour l’abolition de l’esclavage. A la suite de son ordre de libérer les esclaves en Californie, un non moins certain A. Lincoln l’a viré car Frémont n’a pas voulu revoir son ordre alors que la crainte que cela s’étende ailleurs grandissait. Comme quoi les républicains n’ont pas toujours été réacs….


Le pont lui-même tel qu’on le voit aujourd’hui est plus récent: fini en 1937. Avant il y avait des ferrys (qui se faisaient des couilles en or), et en 1917 est venu l’idée un peu farfelue de construire un grand pont. Et comme on connait tous des architectes encore plus farfelus, il y en a eu un pour y penser sérieusement: Joseph Strauss. Bon au départ il pensait faire un pont sur le Detroit de Béring (c’était son projet de fin d’études… avec ça, on est pas rendu…) Bon finalement ils ont retenu le projet pour le GGB, et construit, avec lui pas tout seul, heureusement semble-t’il, et malgré la lutte entre les "pour" métallurgistes et industrie automobile et les "contres" les ferrys et les habitants du quartier de Sausalito et Angel Island regroupés dans l’association “motivés, pour ne pas avoir la pollution et les nuisances sonores” Non je déconne!!!. Ils ne voulaient pas avoir de mexicains en fait… Bon bref… vive l’humanité. Aujourd’hui que reste-t’il du GGB? Et bien tout en fait parce qu’il a été fait avant l’heure aux normes antisismiques, et ne s’est jamais cassé la gueule… (C’est pas comme le Bay bridge qui est toujours pas aux normes, qui s’est affaissé lors du dernier gros tremblement de terre. Ils sont en train d’en construire un à côté depuis 86… y a de l’espoir. En meme temps il vaut mieux en avoir quand on le traverse, ce qui dure quelques minutes et on espère dans ces cas que c’est pas le jour du Big one. Enfin le GG bridge, c’est quand-même un beau monument, çà rend nostalgique de Eiffel, et puis la ballade y est belle. Il parait que le vertige qu’on y éprouverait quand on le traverse serait a l’origine de grands nombres de suicides chaque année a cet endroit.




C’est la mode, tous les soirs, si t’en as marre de la vie, tu peux venir voir/ voire participer à une exhibition de sauts des anges…. Garder pour plus tard… Et le rouge, c’est pas parce que les américains ont mauvais gout en tout, ou du sang séché, c’est juste l’antirouille… et il en faut des pataquès de tonnes…




Vous savez tout… il ne reste plus qu’a venir constater vous-même!

mercredi 8 octobre 2008

Enfin... dans tout ce bordel.....


J'étais en train d'écrire une nouvelle étape sur SF quand les Nobel ont frappé... Au milieu de la crise (j'ai le choix entre deux compte en banque qui vont se casser la gueule quel que soit le pays, trop de chance), des élections, du marasme général, il y a quand-même quelque chose de juste.
Cette année les Nobel ont enfin récompensé dans deux catégories (Médecine et Chimie) des gens dont les travaux me tiennent vraiment à coeur. En fait sans eux, on en serait clairement pas là en Science. A tel point que la rumeur court au sein des couloirs des labos, "mais comment se fait ils qu'ils n'avaient pas pensé avant à les récompenser?"
D'abord, il y a Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier pour avoir participé à la découverte de ce putain de fucking virus du SIDA. Et oui c'est sûr certains auraient préféré qu'il reste ce grand inconnu, l'esprit frappeur. Moi je préfère pouvoir voir en face un adversaire potentiel. Bon ils auraient pu le donner a deux types en plus, mais la famille est tellement grande et tous y ont beaucoup travaillé en compet' serrée c'est aussi ca la Recherche.
Ensuite et pour moi c'est très important , je vous présente la belle et extravagante Aequorea victoria.

C'est juste une méduse, me dirais vous. Cet être élégant malgré ses 99 pourcents d'eau contient dans son 1 pourcent une protéine fluorescente, la green fluorescent protein ou GFP qui a révolutionné le travail de nous tous chercheurs. Que ce soit pour suivre n'importe quelle autre protéine (si on attache la GFP à notre cible) dans n'importe quelle cellule avec un microscope (comme des paparazzi films ou images), que ce soit pour faire la fameuse souris verte et surtout pour voir qu'est ce qu'il se passe quand la situation dégénère. La GFP m'a donné ma passion pour l'imagerie en temps réel des neurones et elle est pour moi comme le mètre au tailleur, la souris a l'informaticien ou le pinceau au peintre. Je voulais donc vous en parler un peu. les chercheurs Roger Tsien, Martin Chalfie, et Osamu Shimomura ont eu l'idée géniale et complètement farfelue pour l'époque d'abandonner la radiactivité pour avoir un moyen de marquage plus safe. et voilà... Cette protéine, la GFP a la capacité d'émettre une lumière verte lorsqu'on l'éclaire avec une lumi`ere d'onde ultraviolette. du néant on est éclairé par ce halot vert (qui n'a rien a envier aux couleurs des années 80).
Bref c'est trop cool!!!
Alors soyez curieux, rendez hommage un peu à ces deux bestioles: mettez des capotes (seul remède vraiment efficace contre les MST comme le HIV et les enfants (oups j'ai dérapé et j'assume)) et lisez plus sur ma cnidaire préférée vous serez médusés!

BIz

dimanche 14 septembre 2008

AlohaAAAAaHHHH...groumph niar niarc



Une question restait en suspens: a quoi ca ressemble le Pacifique? Non parce que j'en avais deja vu un bout a San Diego avec ses plages , les cocotiers (genre alerte a Malibu), le soleil et l'eau trop calme pour etre vraie... Et puis d'abord Pamela, mythe ou realite? Et puis la tenue rouge les bouees de... non la je m'egare... Bon c'est pas pour David H.... Bref beaucoup de questions sur le Pacifique... Et l'attente d'un WE aux temperatures decentes pour sortir le bikini... C'est fait. Un WE ou il fallait bien qu'on fasse visiter tout de SF a un futur petit nouveau Gregory (Euh pas si petit que ca mais bon, tout est relatif), du coup on a traverse le Golden Gate Bridge (sans fog)




passé sur la cote Pacifique et alle a une plage de VRAIS surfers.... Pas ces surfers d'eau douce, qui profitent d'une vague toute reguliere pour epater des filles avec un accent bizarre (hein Gégé)... du surfer, du lourd du blondi par le sable, bronzé par le soleil qui tape sur.... sa combi neoprene 10 cm... Il faut bien ca pour se baigner dans le Pacifique qui ne depasse pas les 14 degrés celsius....
Du coup, on a d'abord traverse des paysages plus proches de la Costa Brava ou Bagnouls que des chansons des Beach boys.

Y a des fois , décidément ca ressemble pas a l'Amerique...


En se retournant on laissait la baie, la ville (sans fog, c'est la 4eme dimension), ses Twin Peaks...




et c'etait de plus en plus zoli.
On arrive a Stinson Beach... nom evocateur, d'une plage derriere une dune de sable comme dans les Landes a la difference pres que tout le monde pique-nique sans arret (sauf pour faire semblant de jouer a un sport tout a fait superflu) en faisant cuire, hot dog, quesadillas et autres mets delicats... (bon nous ca a ete hamburger et smoothie orange mango banane: rigolo sur la plage... bon apres pour epater en maillot c'est pas le pied, ca ballonne quand-meme). En arrivant, une bonne surprise ou plutot LA revelation... de l'utilité du surfer...Jusque la cette question restait de l'ordre de la metaphysique, et puis j'ai vu la pancarte:


Le surfer sert de barriere de corail. Avec ses petites coucougnettes dans son maillot hawaien, il supporte les temperatures du Pacifique, encore mieux avec sa combi a hydroglissage integree qui l'amene a se prendre pour Icare et vouloir surfer toujours plus loin...
...pour mieux nourrir les requins blancs qui se balladent dans le coin...
Le requin repu de repas chimique: neoprene , creme solaire saveur monoi, restes de poudre decolorante pour les cheveux, et polystyrene, avec une sauce a la viande, va dormir plus loin et du coup le baigneur hesitant peut y aller tranquille, s'il supporte la congelation.... C'est beau la nature... Je sourirai plus souvent aux surfers maintenant. Avec ses bonnes pensees je me suis sentie plus zen (le soleil aidant... putain 4 mois a pas le voir ou presque et tout froid!).

Sinon on a lutté contre le pire des pigeons des plages, la mouette qui nous a fait un remake des oiseaux ... Un instant d'inattention et vous perdez votre poche la plus precieuse , qu'elle emporte en se l'arrachant goulument des fois qu'il y aurait a manger... Et le benet moyen de la nourrir en vol, en se disant qu'il a dressé la mouette.... J'aime pas la plage mais l'etude sociologique de l'americain a la plage est interessante, et puis il faut bien avouer que se retrouver avec la force de l'ocean, et le paysage de falaise de la mediterranee espagnole ca fait bizarre... Je sais, LA QUESTION: l'est ou Pamela? Ben je sais pas, pas vue... les maisonnettes de surveillance sont bleues mais pas vu personne.... encore moins un beau sauveteur pour me sauver des bras tentaculaires d'un fucus vesiculeux... Mais j'ai quand-meme ete bien escortee...

Vous avez vu nos tetes de gagneurs, la truffe au vent (c'est pour ca qu'on a les yeux brillants qui coulent)... Forcement Sandra devait immortaliser ce moment avec Javier son cher et tendre, et Gregory le futur nouveau SFscain.... Bon ben c'est pas tout mais fallait rentrer ...


demain ecole...

Bon vent! A bientot

lundi 18 août 2008

AAAAAAARRRRRRGGGGGGHHHHHHH cacao!!!!

Vous le saviez tous.... je suis une grande "cacaoinomane".... J'ai besoin de chocolat, noir de preference.... Mais mon labo ne le sait pas... enfin pas jusqu'a il y a cinq minutes... En sortant de la réunion de la semaine, j'ai senti d'un coup un grand manque, tristesse, besoin de chocolat urgent, snifferais bien du Van houten. Les Tonio et Bran savent comment je deviens quand j'ai pas mon chocolat... ca fait vingt minutes que je passe de bureau en bureau pour demander si quelqu'un en a un peu... J'ai trouvé un carré de chocolat au lait et amandes, enfin ,apres les 10000 propositions de sucreries... un carré... je sais que ca ne va pas etre suffisant....Ah la dépendance... Et j'ai deja mangé l'autre jour "mon carré de survie" que je gardais dans la poche de mon sac... Je viens d'arpenter les distributeurs... le plus chocolaté était un sneaker.... pas de chocolat la dedans...
Y a des fois c'est dur quand-meme....
Vivement a la maison ce soir, si j'arrive jusque la....

dimanche 17 août 2008

ca y est un blog, c'est quand-meme pratique!

Yep, je suis une sale copieuse made in US... Merci Gégé pour l'idée. Désormais, tout le monde pourra voir les photos sans probleme de surcharge de boite mail... Je vous donne rendez-vous ici régulierement, quand vous avez une minute ou vous vous ennuyez, pour suivre la suite de mes aventures... D'abord les photos laissees par les paparazzis de la soiree tres branchee a Dolores-verly Hills des superheros (ils se rencontrent souvent ici) Y avait:
Captain America et Catwoman n1


et aussi d'incroyables super woman (Canari, Mys?, Patate, Ice)

On avait aussi invité les Bad boys et les rudos pour une treve a la biere:
Joker
et aussi des doublures fortement abimees par les cascades (Catdefonce(e)/Superroulure)


Bref que du beau-monde mais les superpouvoirs de Icewoman ont eu raison des autres en soufflant un vent glacial qui a reussi a traverser tous les super spandex costumes et nous les faire geler...

A plus